Jeanne d'Arc
Sans cette pucelle de 17 ans, la France n'existerait probablement pas…
En l’an de grâce 1420, près de la moitié de la France est occupée par l’envahisseur anglais.
Par un jeu d’alliances, le roi anglais Henri VI est également désigné roi de France.
Alors que les étendards anglais plastronnent honteusement dans les villes et villages français.
C’est un voile noir qui accable la France.
Mais dans ce brouillard d’une guerre de cent ans, une fille de paysan refuse la soumission.
Guidée par des voix, elle quitte son petit village pour trouver le roi légitime, Charles VII.
Malgré son déguisement, elle reconnaît immédiatement le roi et lui annonce quatre événements : le sacre du roi à Reims, la libération d’Orléans, celle du duc d’Orléans et la libération de Paris.
Ébahi par la force et la détermination de cette jeune fille, Charles VII reprend confiance. « Sus aux Anglais, la France se libérera ! »
La suite... vous la connaissez : Jeanne chasse les Anglais hors du royaume de France en commandant l’armée française vers la victoire.
Hélas, en 1430, elle est trahie par les Bourguignons qui la remettent aux Anglais.
Après un procès déloyal, elle est déclarée hérétique et condamnée à être brûlée vive.
Sauver la France a un prix, les véritables résistants le connaissent.
Alors qu’hier encore nous célébrions la victoire des Alliés sur l’envahisseur nazi.
Ce deuxième dimanche de mai, souvenons-nous de Jeanne, qui, en des temps immémoriaux, s’est sacrifiée pour la France.
Fraternellement,

















